A côté de la réintroduction annoncée par Daech du Denarius Auri ou du Dinar-or à partir d’Irak, l’armée syrienne tente de se préparer à une très mauvaise surprise que pourraient lui réserver l’ONU ou le régime de Washington.
Un communiqué officiel de Damas ne dit pas autre chose et l’on sait depuis un mois que la syrie cherche à multiplier ses approvisionnements en armes et surtout de nouveaux systèmes d’armes aptes à induire un changement tactique majeur.
Sur le terrain, l’armée syrienne fait ce qu’elle peut. En face, les groupes armés se multiplient et l’on arrive plus à les dénombrer. La rébellion classique s’est dissoute dans un océan de milices armées en guerre les unes avec les autres.
Le rapprochement factice entre Daech et la pseudo Al-Qaida vise dans ce contexte à unifier un front de combat et à se réserver l’exclusivité du combat contre le régime syrien.
Cependant, l’armée syrienne ne lâche pas prise. Notamment près du littoral et de la capitale où se concentre le gros de la population du pays.

Le dinar d’or et le dirham d’argent, je n’avais vu la notion que dans le blog islamic intelligence, visiblement tenu par un fou furieux qui n’est pas tout seul dans sa tête. La notion est purement théorique vu qu’elle ne précise absolument pas comment elle fait concernant les montants faramineux en circulation en monnaie fiduciaire.
Bonjour l armée syrienne doit acheter des bmpt pour couvrir l avance des chars de combat et des bmp3 ensuite l avance des bmp2 et 1 avec les t80 ensuite se base sur le contrat algérien des kamo52 alligators et des mi mi 28 ne havroc il y a un moyen trouver un gaz de combat mais qui tue pas mais fait dormir la. L armée syrienne pourra avancer