Le nouveau gouvernement grec d’Alexis Tsipras a vivement protesté contre la déclaration des « chefs d’État ou de gouvernement de l’Union » attribuant aux « séparatistes » le « bombardement aveugle » de la ville de Marioupol et menaçant la Russie de nouvelles sanctions [1].
Selon M. Tsipras, la Grèce n’a pas été consultée et cette déclaration a été publiée en violation des procédures de l’Union.
Selon EU Observer, la Hongrie, la Slovaquie et l’Autriche auraient vainement essayé de modifier cette déclaration en supprimant l’attribution de l’attaque de Marioupol aux indépendantistes.
Source: Voltairenet
[1] « Déclaration des chefs d’État ou de gouvernement de l’Union sur l’attaque de Marioupol », Réseau Voltaire, 27 janvier 2015.
Articles similaires
Mort d’Idriss Deby: un coup dur pour le système néocolonial français en Afrique
Attaque de Natanz: le facteur humain, encore et toujours
Autotest