Le Coronavirus responsable de l’épidémie de COVID-19 aurait muté des milliers de fois. Les souches actuellement dispersées ne sont pas identiques. Comme tous les virus de la famille des Coronaviridae, les symptômes d’une contamination changent avec le temps ou l’état de santé de l’individu. Les spécialistes demeurent très divisés quant à la nature réelle du COVID-19. La dernière thèse circulant parmi des milieux avertis concerne un épandage aérien au moyen d’aérostats (ballons-sondes, ballons météorologiques ou projets solaires) et par drones.
La synchronicité des contaminations dans certains pays à l’exclusion d’autres rappelle le lâchage dans la nature de sept milliards de moustiques génétiquement modifiés, devenus entre temps vecteur de plusieurs nouveaux virus ou du moins plus virulents (moustiques tigre et une autre variété quasiment invisible). La prochaine étape est de rendre une nouvelle variété de moustique capable de transmettre le COVID-19 en plus d’autres maladies jadis exotiques mais qui se répandent de plus en plus dans les pays du Groupe des 20 ou G-20.
Le génie génétique s’est grandement développé depuis les années 1990. Pas toujours dans le bon sens ni selon les objectifs recherchés.
Le vecteur de la grippe saisonnière sera le prochain instrument des apprentis de Dieu et servira à justifier dans des conditions réelles l’avènement préparé (souhaité) de ce que l’on désigne comme la seconde vague. Suivant la perception de la réalité normative imposée par les médias (bruit de fond continuel), la seconde vague est inéluctable et presque une suite normale au premier épisode du confinement forcé en sous-main par des institutions financières internationales comme le Fonds Monétaire International (FMI) et la Banque Mondiale (BM).
Le spectacle horripilant des Conventions des partis Démocrate et Républicain en prévision des prochaines présidentielles US confirme encore une fois que l’ensemble du SHOW politique et médiatique US est une mise en scène digne du simulacre le plus flagrant et le plus caricatural. L’ensemble du personnel politique et médiatique US fait de la figuration de second ordre et croit suivre les préceptes de l’Art de la Guerre de Sun Tzu en cultivant la confusion et l’ambiguïté sur la réalité des choses. En réalité, l’Empire n’a plus de figurants fiables et manque de gérants ou de gestionnaires. L’ère de la technostructure fiable des années 50, 60 et 70 est révolue. Le budget annuel réservé à la défense (à la guerre) estimé à 0.750 trillion de dollars cache mal une économie basée sur la guerre permanente mais ce concept ne peut fonctionner sans l’existence d’un ennemi permanent et sans fin. La substitution de la peur sans fin à la terreur devenue grotesque en la nivelant au niveau du fait divers le plus banal est par contre une réussite. Un vecteur biologique invisible est l’instrument idéal.
Le masque est devenu chez les vassaux de la machine une question d’intérêt purement commercial à très petite envergure. Autant revenir au troc des spiritueux contre des breloques. Pour certains gouvernements trop idéologiques comme en France, le masque est devenu une lubie comme celle voulant se débarrasser du diesel.
Ce qui est fort remarquable, c’est que parmi les dizaines de millions de médecins à travers le monde, aucun ne peut déterminer avec certitude ce qu’est le COVID-19.
Au delà des statistiques officielles et donc contrôlées et dès lors ne reflétant en aucune manière la réalité, des pays entiers sont en train d’être contaminés. Il s’agit de dizaines de millions de personnes contaminés non comptabilisées. Dans certains pays, les gens ne veulent plus se rendre aux hôpitaux parce ce qu’ils sont convaincus que les autorités vont les comptabiliser en tant que nouveaux cas de COVID-19 à des fins de statistiques dans le cadre d’une course internationale non officielle (avec excès de zèle) pour le classement du meilleur élève. Très peu de pays échappent à ce schéma. Le Belarus est pratiquement l’un des rares à avoir refusé de jouer le jeu. Il en paiera le prix tôt ou tard sous une forme ou une autre.
Demeure le cas de l’Afrique subsaharienne. Le COVID-19 ne prend pas. Est-ce du au fait que ce continent sert de terrain d’expérimentation aux armes biologiques symétriques et asymétriques depuis la moitié des années 70? Ou est-ce lié à une immunité de groupe induite par une absence de vaccination? Difficile de se prononcer mais la plupart des pays africains qui font semblant de mettre en place un confinement le font pour recevoir des subsides incitatifs de la part des institutions internationales totalement complices dans la grosse manipulation en cours.
Mettre un masque ou faire semblant. Si c’était nécessaire il aurait été gratuitement distribué. Or ce n’est pas le cas. Donc on fait semblant de mettre quelque chose qui y ressemble lorsque on y est contraint dans un monde de simulacres. Le reste n’est que commentaires de téléréalité. La “rentrée” pour celles et ceux qui ont gardé l’ancienne répartition du temps de l’ancien monde sera dure. Ils veulent nous rejouer la partition du mois de mars.
Un masque à gaz de la guerre 1914-1918 serait plus qu’opportun à porter en public. Le monde est devenu toxique.
Didier Raoult acquiesçait hier de la remontée de la contamination dans la région de Marseille, tout en pointant que cette forme était bénigne comparée à l’acte I , et surtout sur la question de la coagulation sanguine. Compte-tenu du contexte global de cette maladie, il est nécessaire de se poser quelques questions en laissant “quelques portes ouvertes”. Si l’on remet les événements dans un ordre chronologique… Lorsque le confinement touchait à sa fin, les instances parlaient sous couvert d’une possible nouvelle infection en septembre. Or, selon les courbes établies mondialement en “formes de cloches”, le virus s’était éteint. Comment ces gens pouvaient-ils alors prévoir un nouvel amorçage en septembre, alors que même D. Raoult confirmait l’extinction du virus en juillet !? On a vu l’information monter de cran en cran chaque semaine depuis juillet, afin d’arriver à l’objectif de la rentrée “plein gaz” sur le virus alors que nous n’y sommes pas encore !! En comparant bien d’autres pays sortis d’affaire malgré les vacances, on peut se demander si ces autres pays n’ont pas utilisé “l’excuse” des rassemblements estivaux pour relancer leur propre manigance. Cela laisse penser à des épandages aériens au moyen d’aérostats ( genre petits ballons lâchés de la lituanie à la frontière Biélorusse ?) car la synchronicité des contaminations dans certains pays à l’exclusion d’autres est absolument incompréhensible. Comment est-il possible que certaines zones soient atteintes et pas d’autres ??? Pour ma part, j’ai toujours pensé que la rentrée serait de nouveau le “Coviboum”… Ne serait-on pas toujours derrière l’écran de fumée, derrière l’arbre qui cache la forêt ? L’inutilité fondée de ces masques devenus obligatoires alors qu’obsolètes quelques mois auparavant ? Des PCR (prescriptions OMS) contenant la séquence génétique intégrale de l’homo sapiens sapiens débouchant sur une positivité de test incontournable ? C’est à mon avis en alignant ces différentes briques, que l’on peut détecter les défauts du mur…
Excellente réflexion que je partage au plus haut point.
@ KL42
IDEM POUR MOI.
Le mien est en tissu.
Je le lave tous les 15 jours.
Bien résumé GARCIA .
Ils nous contraindront par du chantages de toutes sortes.
Ils mettront sue la balance.
L’inoculation d’une maladie à retardement par le billet du teste du long coton tige.
L’inhalation quotidienne des produits nocives qui imprégne les masques lors de la fabrication de ceux-ci.
Lorsque nous sommes endormies pour une opération chirurgicale, ou nous implantera une puce électronique à notre insu.
Nos sociétés pour lesquels nous travaillons nous diront, le dépistage ou le licenciement.
Tout ceux et celles qui auront fait le teste de dépistage et inoculé une maladie placé au plus près du cerveau auront une carte les autorisant à avoir accès à vivre normalement comme avant sans restrictions aucune.
Et les autres, les récalcitrants se verront refuser des tas de choses les plus banale.
Ils seront exclus de vivres, et bénéficier de tous les droits qu’un humain est en droit le plus légitime de réclamer et recevoir.
Les exemples sont nombreux.
Les hommes et femmes de partout dans le monde devront se lever comme d’un seul homme pour dire STOP à♈ ☢
La planète « pleure » plus de 800.000 morts, pour bientôt 25 millions de cas confirmés d’infection au coronavirus Sars-CoV-2.
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, chaque année dans le monde :
303 000 femmes meurent suite à des complications pendant la grossese ou l’accouchement ;
5.9 millions d’enfants meurent avant son cinquième anniversaire ;
2 millions de nouveaux cas de VIH, et 214 millions de paludisme ;
1.7 milliard de personnes ont besoin de traitement pour des maladies tropicaux laissées à l’abandon ;
plus de 10 millions de personnes meurent avant 70 ans à cause de maladies cardiovasculaires et du cancer ;
800 000 personnes se suicident ;
1.25 million de personnes meurent dans les accidents de la route ;
4.3 millions de personnes meurent à cause de la pollution ;
475 000 personnes sont tuées, dont 80% sont des hommes…
L’ingénierie sociale est basée sur l’utilisation de la force de persuasion en exploitant les faiblesses psychologiques, sociales et plus largement organisationnelles des individus pour obtenir quelque chose. La technique dite du prétexte est une technique consistant à créer un scénario de toutes pièces et les techniques d’ingénierie sociale sont basées sur les biais cognitifs. C’est ce qu’on peut appeler le tandem “PEUR-PROTECTION”: on fait peur parce que cela va alors créer artificiellement un besoin de protection qui n’existerait pas sinon. C’est une technique marketing bien connue pour pousser à consommer.
La surveillance intrusive était l’intention première derrière l’invention de l’ordinateur personnel et d’internet.
La meilleure façon de se protéger des techniques d’ingénierie sociale est d’utiliser son bon sens.
Vous ne le savez peut-être pas, les seuls Experts habilités dans les conduites à tenir lors de pandémies “d’origine douteuse” sont les militaires.
La Chine, la Russie, la Corée du Nord ont immédiatement activé leurs systèmes militaires de défense RNBC.
Cette discipline est militaire et les pompiers ou autres corps sont formés au sein des centres d’expertises militaires.
Avez-vous vu un seul militaire spécialiste RNBC mettre les choses au point devant une quelconque tribune?
Effectivement les masques papiers, tissus NE SERVENT A RIEN, plusieurs études démontrent leur contamination “recto-verso” càd étanchéité nulle et passage de gouttelettes nanométriques dans des interstices millimétriques…. Avec effet venturi (accélération du flux par orifice d’aspiration offrant la moindre résistance).
Avez-vous vu la mise à disposition des milliers de masque de protection RNBC ( des stocks de guerre) au profit des intervenants de première ligne???
Avez-vous vu les mises en garde sur de nombreux masques: ce masque ne constitue nullement un EPI (Equipement de Protection Individuelle)???
Donc obliger le port d’un masque qui ne protège de rien est réellement un ignominieuse manipulation des masses!
Ces masques hypocritement portés peuvent néanmoins servir de support à vos message politiques: Stop mascarade, bientôt les masques tomberont, 1938 La “Guerre des mondes 2019 co-vide de sens,…
j’allais chercher mes clopes avec un 6800M de chez 3M. filtres P3.
Mais je crois cependant que le masque garde avec lui une bonne partie des virus expirés, non ?
Il sont censés protéger les autres beaucoup plus que soi même.
Pour finir, ça n’est pas une ” protection personnelle”. Aucune garantie que le port du masque généralisé VOUS protège du covid. En revanche ça garanti au système que NOUS tomberons malades de manière suffisamment espacée pour que cela soit géré, voir devienne une opportunité de révolution technique sans mouvement social.
Si la pression est si forte et violente, c’est bien car le système joue sa survie, pas la notre 😀
La notre, on sait comment il l’a géré: amaiante, sang contaminé, CEM, nanos ….
Salut à tous,
En dehors de ceux qui croient à l’efficacité du masque et de ceux qui font tout pour ne jamais le mettre, pourquoi le mettons-nous ?
Par peur de prendre 135€ et/ou de faire scandale ?
Si on nous impose un vaccin avec sanction de 135€ min voire chômage ou prison en cas de refus, qui acceptera ?
Sachant que là on touchera au corps de façon plus intrusive qu’avec un bout de tissus sur le visage.
Le verrou de la peur du retour de bâton de l’état va-t-il sauter en masse ?
<< Un masque à gaz de la guerre 1914-1918 serait plus qu’opportun à porter en public. Le monde est devenu toxique. >>
ces masques de 1914-1918 ne contiennent ils pas de l’amiante ?
le FMI et la banque mondiale sont des parasite mortels !
Oui. Les masques en papier contiennent aussi des produits chimiques très peu rassurants.
Le mien n’en contient plus, c’est le même depuis le mois de mars. 🙂
le tout c’est de bien savoir les choisir !
et comme rien ne vaut les produits artisanaux
je parie que ceux là contiennent très peu de produit chimique !
https://www.facebook.com/robert.boucher.509511/videos/144099020466872/
Entièrement d’accord avec toi, cher rocbalie, depuis le début on nous trimballe avec le covid-19, une arme bactériologique point barre ! Notre ami Strategika51 l’a expliqué en long en large et en travers, LES covid-19 (qui depuis ont très largement muté !), sont une arme de destruction massive, et l’autre arme (si j’ose dire) c’est le roi dollar qui ravage le peu de liberté qui nous restait (– le “roi dollar –, était octroyé aux soi-disant faibles, pour causer un maximum de dégâts (pas du tout collatéraux), et cette nomination purement propagandiste, comme ces abrutis de dirigeants mondiaux aiment à la nommer, qui n’est qu’en fait qu’une rhétorique de *boutiquiers, et l’art de manier les mots et les idées à l’infini, comme le disait Coluche: « au point de ne plus savoir la question qui était posée…)